Dans un entretien à Vousnousils, Sophie Coignard présente un nouveau pamphlet anti-pédagogique, avec un certain retard sur tous ceux qui paraissent en France au moment de la rentrée. Car c’est bien une tradition, qui rapporte gros avec un minimum d’efforts : dans ce petit monde où il suffit de se recopier l’un l’autre, le plagiat est un mode de fonctionnement et le droit d’auteur compris comme un droit collectif. Coignard, à vrai dire, n’est qu’un pseudo de Brighelli. Il faut probablement n’avoir jamais mis les pieds dans un établissement scolaire pour oser prétendre qu’à l’EN, ce sont les pédagogues « qui ont le pouvoir ». Deux moments de vérité, néanmoins dans cet entretien : lorsqu’elle affirme qu’elle a « d’ailleurs mis du temps à comprendre » le sujet dont elle parle et sa réponse au journaliste qui l’interroge sur sa légitimité à écrire dans ces conditions : « je revendique mon incompétence ».
Ce sont là les seuls moments où elle ne peut pas être mise en défaut.
PS : réfuter page à page le bouquin de madame Coignard est au-dessus de mes forces. Plus courageux, Jean-Michel Zakhartchouk s'y est mis. Il reste quand même des profs bosseurs...
Ce blog sponsorisé par la Banque Populaire, (une des pires désormais en matière d'efficacité commerciale et de satisfaction clients ?). Vous suivez l'actualité, vraiment, de tous ces margoulins ?
Pourquoi ne pas vous abonner tant que vous y êtes aux états d'âme des conseillers financiers et pensées profondes chez BNP Paribas ou Banque Carrefour ou Cetelem, voire Cofidis et Sofinco ?
Je suis certain qu'ils ont des trucs à dire et à révéler !
Je me moque un peu mais je vous adresse toute mon amitié !
Bien à vous, continuez,
Théo